Depuis l’intervention de Louis Miquel à la fin des années 1960, le musée n’a connu aucune campagne de rénovation. Il souffre désormais d’une muséographie surannée, peu encline à valoriser pleinement les collections permanentes, à développer le haut potentiel d’accueil d’expositions temporaires, et in fine, à satisfaire les exigences toujours plus fines des visiteurs. Le maintien du rayonnement de ce haut lieu culturel implique par conséquent qu’un projet de rénovation, tout aussi ambitieux que réaliste, soit porté.